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Prière à Saint Joseph Calasanz, protecteur des enfants et des jeunes

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La Vierge Marie et l'Enfant-Jésus apparaissant à Saint Joseph Calasanz

Retable de l'église Saint Thomas d'Aquin de Saragosse (Espagne)

Peinture de José Luzán (1767)

Iglesia de los Escolapios (de las Escuelas Pías)

o Santo Tomás de Aquino (Zaragoza)

 

Prière à Saint Joseph Calasanz 

Ô Saint Joseph Calasanz, protecteur des enfants et des jeunes gens, ô grand serviteur du Seigneur, qui avez, en leur faveur, opéré tant et de si grandes merveilles, vous qui avez été pour eux le miroir d'une charité très ardente, d'une patience invincible, d'une très profonde humilité, d'une pureté angélique et de toutes les vertus les plus héroïques, vous qui, par de saints exemples, par des paroles toutes pleines de l'Esprit de Dieu, les avez excités à fuir les occasions dangereuses, à détester le vice, à haïr le péché, à aimer la piété et la dévotion ; vous qui, de la sorte, avez conduit au Ciel tant d'enfants et de jeunes gens ; vous qui leur avez obtenu visiblement la bénédiction de l'Enfant-Jésus et de Sa Très Sainte Mère, obtenez-nous encore, à nous, vos humbles et dévots serviteurs, obtenez-nous, ô notre puissant avocat et notre père très doux, une constante aversion pour le péché, la victoire dans les tentations, l'assistance dans les dangers, le progrès dans les lettres, afin qu'en acquérant la plénitude de la vraie sagesse, qui est la sainte crainte de Dieu, nous obtenions aussi le salut éternel. Ainsi soit-il.

Prière pour le bon usage des souffrances de Mgr Vladimir Ghika

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Prière pour le bon usage des souffrances

de Mgr Vladimir Ghika


Seigneur, je souffre ; voici mes souffrances, prenez-les ; je vous les donne.
Vous qui ne refusez rien de nous, acceptez ceci.
Vous qui, plus que tout autre avez souffert, Vous savez ce que je Vous offre.
Seigneur, je souffre ; voici mes souffrances, prenez-les.

Je Vous les donne, je Vous les donne, je Vous les donne afin que, devenues Vôtres, elles puissent servir à expier les fautes de ceux que j'aime ou qui m'ont fait du bien, me faire mieux pardonner les miennes et me rapprocher de Vous. Faites-en du bonheur, et pour nous tous et sur la terre comme au Ciel.

Seigneur, les heures de souffrances tiennent beaucoup de place dans ma vie. C'est peut-être ce dont je suis le plus riche ; ce n'est donc pas une petite part de moi-même que je Vous offre. Vous le savez et, si je Vous le dis, c'est pour me rassurer moi-même en ce moment ; car si j'ai presque pitié de moi en Vous le répétant, quelle doit être, mon Dieu, Votre pitié pour moi, ô Vous qui m'aimez plus que je ne Vous aime ?

Seigneur, je peux souffrir plus longtemps que je ne puis, des lèvres ou du cœur, Vous prier. Or voici que mes souffrances elles-mêmes prient toutes seules depuis que je Vous les ai données ; elles prieront ainsi plus longtemps que mes prières. Et, plus elles me tourmenteront, plus fort elles sauront Vous prier.

Seigneur, jadis, mes souffrances m'éloignaient souvent de Vous, parce qu'elles s'attachaient trop à mon âme et me ramenaient sans cesse à moi-même. Mais voici qu'elles ne sont plus à moi seul et qu'en elles, je ne veux plus penser à moi-même ; je Vous les ai données; maintenant elles sont à Vous, à Vous à jamais. Tenez-les étroitement serrées sur Votre Cœur, et puisqu'elles ne veulent pas me quitter, je m'y trouverai aussi malgré elles, avec elles, jusqu'au jour où, par Votre Bonté, je me trouverai sans elles, au Ciel, près de ce Cœur. Amen. 

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