Livre d'Or Mercy

Therese la harpe peinture celine martin parousie over blog fr

80 message(s) dans le livre d'or

rené Le 11/04/2011

faite que ma petite fille trouve du travail
que ma famille garde la santé.
merci

Christine Le 20/03/2011

Je m'adresse à vous sainte rita pour m'aider à prier pour ma fille Elodie qui veut être ergothérapeute pour pouvoir aider les autres, mais elle a un gros manque de confiance en elle, il y a peu de place pour beaucoup de candidats, donc en paralléle, elle passe des concours de pédicure podologue au cas ou!!!! elle commence ses concours, le 24 et 30 mars à paris et en auras d'autre courant mars jusqu'en mai, vu le nombre de concours c'est très couteux et nous ne sommes pas fortuné mais faisons ce qu'il faut pour qu'elle puisse en passer le maximum, je vous en prie aider là pour qu'elle reussisse quelques concours.
merci de votre aide
Christine

GLORIA POLO, REVENUE DU PURGATOIRE ET DES PORTES DE L’ENFER (site web) Le 20/03/2011

TEMOIGNAGE DONNE SUR RADIO MARIA, COLOMBIE
PAR LA DOCTORESSE GLORIA POLO, REVENUE DU PURGATOIRE ET DES PORTES DE L’ENFER

(Traduction complète et originale de http://www.alatendressedupere.ch)

N.B si vous avez déjà lu ce témoignage ailleurs, relisez-le, car la version traduite en français qui circule sur internet ou dans de petits livrets a été tronquée, atténuant ainsi l’essentiel du témoignage de Gloria !
"Frères et soeurs, c’est vraiment merveilleux d’être avec vous pour partager le magnifique cadeau que m’a fait Notre Seigneur, il y a maintenant plus de dix ans.

Ça s’est passé à l’Université Nationale de Colombie à Bogota (en Mai 1995). Avec mon neveu,
dentiste comme moi, nous préparions une maîtrise. Ce vendredi après-midi-là, mon mari
nous accompagnait car nous avions des livres à prendre à la Faculté. Il pleuvait
abondamment et mon neveu et moi-même nous abritions sous un petit parapluie. Mon mari,
quant à lui, était vêtu d’un imperméable, et s’approchait de la paroi de la bibliothèque du
Campus. Mon neveu et moi-même, nous faisions de petits sauts pour éviter des flaques d’eau
et sans nous en rendre compte, nous nous sommes dirigés vers des arbres. Alors que nous
nous apprêtions à enjamber une plus grande flaque, nous fûmes tous les deux foudroyés.
Mon neveu est mort sur le coup. Il était jeune et en dépit de son jeune âge, il s’était déjà
consacré à Notre Seigneur; il avait une grande dévotion à l’Enfant-Jésus. Il portait toujours
sa sainte image dans un cristal de quartz sur sa poitrine. D’après l’autopsie, la foudre serait
entrée par l’image. Elle a carbonisé son coeur et est ressortie par ses pieds.
Extérieurement, l’on n’apercevait aucune trace de brûlures sur lui.
Pour ma part, mon corps a été calciné de façon horrible, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Ce
corps que vous voyez maintenant, reconstitué, l’est par la grâce de la miséricorde divine.
La foudre m’avait carbonisée, je n’avais plus de poitrine et pratiquement toute ma chair et
une partie de mes côtes avaient disparu. La foudre était sortie par mon pied droit après avoir
brûlé presque entièrement mon estomac, mon foie, mes reins et mes poumons.
Je pratiquais la contraception et portais un stérilet intra-utérin en cuivre.
Le cuivre étant un excellent conducteur d’électricité, il carbonisa mes ovaires. Je me trouvai
donc en arrêt cardiaque, sans vie, mon corps faisant des soubresauts à cause de l’électricité
qui le parcourait encore.
Mais ceci ne concerne que la partie physique car le plus beau, le plus magnifique, c’est
qu’alors que mes chairs gisaient là, carbonisées, je me retrouvai dans un très beau tunnel de
lumière blanche, où tout était plénitude, paix, félicité.
Aucun mot ne peut décrire la grandeur de ce moment de bonheur. C’était un moment de
béatitude immense. Tout en me déplaçant, je me sentais heureuse et remplie de joie, car rien
ne me pesait, dans ce tunnel.
Au bout du tunnel, je vis comme un soleil d’où émanait une lumière extraordinaire. Je vous la
décris comme une lumière blanche uniquement pour vous en donner une certaine idée : en
réalité aucune couleur sur terre n’est comparable à un tel éclat.
J’y percevais la Source de tout cet amour et de toute cette paix.
Alors que je m’élevais, je réalisai ce qui m’arrivait: Mince ! Je viens de mourir ! Je pensai à
mes enfants et me dis:« Oh, mon Dieu, mes enfants, que vont-ils penser de moi ? La maman
très active que j’ai été n’a jamais eu de temps à leur consacrer ! »
Il m’était possible de voir ma vie telle qu’elle avait été réellement et cela m’attrista.
Je quittais la maison tous les jours pour transformer le monde et je n’avais même pas été
capable de m’occuper de mes enfants !
À cet instant de vide que j’éprouvais à cause de mes enfants, je vis quelque chose de
magnifique: mon corps ne faisait plus partie de l’espace et du temps. En un instant, il m’était
possible de voir tout le monde en même temps: les vivants et les morts. J’ai pu étreindre mes
grands-parents et mes parents défunts. J’ai pu serrer contre moi tout le monde… c’était un si
beau moment !
Je compris alors combien j’avais été trompée en croyant à la réincarnation, dont je m’étais
faite l’avocate.
J’avais l’habitude de ‘voir’ partout mon grand-père et mon arrière grand-père. Mais là, ils
m’embrassaient et j’étais avec eux. En un même instant, nous nous sommes étreints ainsi
qu’avec tous les êtres que j’avais connus dans ma vie. Seule ma fille de neuf ans (qui était
encore vivante), quand je l’ai étreinte, a eu peur, car elle l’a senti…
Durant ces moments si beaux hors de mon corps, j’avais perdu la notion du temps. Mon
regard avait changé: (sur terre) je distinguais celui qui était obèse, celui qui était de couleur
ou disgracieux car j’avais toujours des préjugés.
Hors de mon corps, je considérais les êtres de l’intérieur.
Comme c’est beau de voir les gens de l’intérieur !
Je pouvais connaître leurs pensées et leurs sentiments. Je les embrassais tous en un instant,
tout en continuant à m’élever toujours plus haut et pleine de joie. Je compris alors que j’allais
profiter d’une vue magnifique, d’un lac d’une beauté extraordinaire.
Mais à ce moment-là, j’entendis la voix de mon mari qui pleurait et m’appelait en sanglotant :
« Gloria, je t’en prie, ne pars pas ! Gloria, reviens ! N’abandonne pas les enfants, Gloria! ». Je
l’ai donc regardé et non seulement je l’ai vu mais j’ai ressenti son profond chagrin.
Et le Seigneur m’a permis de revenir bien que ce ne fut pas mon souhait. J’éprouvais une si
grande joie, tant de paix et de bonheur ! Et voilà que je redescendais désormais lentement
vers mon corps où je gisais sans vie. Il reposait sur une civière, au centre médical du Campus.
Je pouvais voir les médecins qui me faisaient des électrochocs et tentaient de me ranimer
suite à mon arrêt cardiaque. Nous sommes restés là pendant deux heures et demie. D’abord,
ces docteurs ne pouvaient pas nous manipuler car nos corps étaient encore trop conducteurs
d’électricité; ensuite lorsqu’ils le purent, ils s’efforcèrent de nous ramener à la vie.
Je me posai près de ma tête et je ressentis comme un choc qui m’entraîna violemment à
l’intérieur de mon corps. Ce fut douloureux car cela faisait des étincelles de toutes parts. Je
me vis intégrer quelque chose de si étroit ! Mes chairs meurtries et brûlées me faisaient mal.
Elles dégageaient de la fumée et de la vapeur.
Mais la blessure la plus horrible était celle de ma vanité. J’étais une femme du monde, un
cadre, une intellectuelle, une étudiante esclave de son corps, de la beauté et de la mode.
Je faisais de la gymnastique quatre heures par jour, pour avoir un corps svelte: massages,
thérapies, régimes en tous genres, etc. C’était ma vie, une routine qui m’enchaînait au culte
de la beauté du corps. Je me disais: « J’ai de beaux seins, autant les montrer. Il n’y a aucune
raison de les cacher. »
De même pour mes jambes, car je croyais que j’avais de belles jambes et une belle poitrine !
Mais en un instant, je voyais avec horreur que j’avais passé ma vie à prendre soin de mon
corps. L’amour de mon corps avait été le centre de mon existence.
Or, maintenant, je n’avais plus de corps, plus de poitrine, rien que d’horribles trous ! Mon
sein gauche en particulier avait disparu. Mais le pire, c’étaient mes jambes qui n’étaient que
plaies béantes sans chair, complètement brûlées et calcinées…
De là, l’on me transporta à l’hôpital où l’on me dirigea d’urgence au bloc opératoire et l’on
commença à m’opérer, à racler et nettoyer les brûlures.
Alors que j’étais sous anesthésie, voilà que je sortis à nouveau de mon corps et que je vis ce
que les chirurgiens étaient en train de me faire. J’étais inquiète pour mes jambes.
Tout à coup je passai par un moment horrible : toute ma vie, je n’avais été qu’une
« catholique au régime ». Ma relation avec le Seigneur ne tenait qu’à l’Eucharistie du
Dimanche, pas plus de 25 minutes, et là où l’homélie du prêtre était la plus brève, car je ne
pouvais supporter davantage. Telle était ma relation avec le Seigneur. Tous les courants (de
pensée) du monde m’avaient influencée telle une girouette.
Un jour, alors que j‘étais déjà en Maîtrise dentaire, j’avais entendu un prêtre affirmer que
l’enfer, tout comme les démons, n’existait pas. Or c’était la seule chose qui me retenait encore
dans la fréquentation de l’Église : la peur du Diable. En entendant une telle affirmation, je me
suis dit que nous irions tous au Paradis, indépendamment de ce que nous étions et cela
acheva de m’éloigner du Seigneur.
Je commençai à propager des idées fausses, car le péché n’atteignait pas que moi : le pire,
c’est qu’il blessait toute ma relation au Seigneur. Je commençai à dire à tout le monde que le
diable n’existait pas et que cela avait été une invention des prêtres, que c’était de la
manipulation... Je commençai par dire cela, mais ensuite, lorsque je sortais avec mes
camarades de l’université, je finis par leur dire que Dieu n’existait pas et que nous étions le
produit de l’évolution.
Cependant, à cet instant, me « voyant » ainsi intérieurement, quel effroi terrible ! Quand je
vis des démons venir me chercher, parce que j’étais leur salaire ! Des murs du bloc
opératoire, je vis en effet surgir beaucoup de monde. Au premier abord, ils semblaient
ordinaires, mais en réalité, ils avaient des regards tellement haineux, des regards si
effrayants ! A ce moment-là, par une certaine science intérieure qui me fut donnée, je réalisai
que j’avais une dette envers chacun d’entre eux.
Je compris que mon péché n’avait pas été sans conséquence et que la principale infamie, le
pire mensonge du démon, c’était de faire croire qu’il n’existait pas.
Je les voyais tous venir et m’entourer pour m’emmener… imaginez ma frayeur, ma terreur!
Mon esprit intellectuel et scientifique ne m’était plus d’aucun secours.
Je me jetai au sol, je me jetai sur mes chairs pour réintégrer mon corps, mais celui-ci ne me
laissait pas entrer. Dans cette grande frayeur, je me mis à courir, et je ne sais à quel moment,
je traversai la paroi de la salle d’opération. J’espérais arriver quelque part dans les couloirs de
l’hôpital afin de pouvoir me cacher, mais non : je fis un saut dans le vide et m’engouffrai dans
une quantité de tunnels qui allaient vers le bas.
Au début, ils étaient éclairés et cela ressemblait aux alvéoles d’une ruche d’abeilles où il y
avait beaucoup de monde.
Mais à mesure que je descendais, la lumière s’éteignait et je commençai à errer dans des
tunnels faits de ténèbres épouvantables. Et quand je parle de ténèbres, elles n’ont aucune
commune mesure avec l’obscurité la plus totale de la terre, que l’on pourrait comparer à la
lumière du plein midi! On ne peut pas les comparer. Ces ténèbres-là suscitaient la souffrance,
l’horreur et la honte, et leur odeur était infecte.
Quand j’eus fini ma descente le long des ces tunnels, j’atterris, désespérée, sur un replat.
Cette volonté de fer que je clamais avoir, était bien démesurée comparée à mon néant… là,
elle ne me servait de rien car j’essayais de remonter et n’y parvenais pas.
Et je vis au sol comme un gigantesque gouffre s’ouvrir et je ressentis en moi un vide
immense, un abîme sans fond, inexprimable. Le plus terrifiant concernant ce trou béant était
qu’on n’y ressentait, même pas un peu, l’amour de Dieu, ni une goutte d’espérance.
Et ce trou m’aspirait et me tirait et je hurlais, terrifiée. Je savais que si j’allais là-dedans, mon
âme en mourrait. Dans cette horreur si grande, pendant que mon corps entrait dans ce trou,
on m’attrapa, d’au-dessus, par les pieds. Mon corps entrait désormais dans ce trou mais
j’étais retenue par les pieds. Ce fut un moment d’extrêmes souffrance et épouvante.
Mon athéisme, je l’avais perdu en chemin et je commençai à crier « Ames du Purgatoire, s’ilvous-
plaît, sortez-moi d’ici ! ». Tandis que je hurlais, je ressentis une douleur très intense, car
il me fut donné de comprendre que des milliers et des milliers d’êtres humains se trouvaientlà,
surtout des jeunes. J’entendais, et cela me faisait beaucoup souffrir, des grincements de
dents, d’horribles cris et des gémissements qui m’ébranlaient jusqu’aux tréfonds de l’ être.
Il m’a fallu des années avant de m’en remettre car chaque fois que je me souvenais de ces
instants, je pleurais en pensant aux indicibles souffrances de ces personnes. Je compris que
c’est là où vont les âmes des suicidés qui, en un instant de désespoir, se retrouvent dans ces
tourments et avec toutes ces créatures qui s’y trouvent. Mais le tourment le plus terrible,
c’était l’absence de Dieu. On ne pouvait pas sentir Dieu.
Dans cette douleur, je me mis à crier: "Qui a pu commettre une erreur pareille ?!"
« Regardez : je suis tellement sainte: je n’ai jamais volé, je n’ai jamais tué, j’ai donné de la
nourriture aux pauvres, j’ai prodigué des soins dentaires gratuits à des nécessiteux; qu’est-ce
que je fais ici, moi?! »
J’allais à la messe le dimanche… même si je me considérais athée, jamais je ne l’avais
manquée. Si j’avais manqué la messe du dimanche plus de cinq fois dans ma vie, c’était
beaucoup! J’étais quelqu’un qui allait toujours à la messe. Alors qu’est-ce que je faisais ici?!
« Je suis catholique ! Je vous en prie, je suis catholique ! Sortez-moi d’ici ! ».
Tandis que je criais que j’étais catholique, j’aperçus une faible lueur. Et je puis vous assurer
qu’en de telles ténèbres, la moindre lueur est le plus beau des cadeaux. Je vis des marches et
au-dessus, presque à ras le trou, je reconnus mon père, décédé cinq ans auparavant. Il y avait
un tout petit peu de lumière. Toute proche et quatre marches plus haut, se tenait ma mère
comme en prière, éclairée par davantage de lumière.
Les apercevoir me remplit d’une très grande joie et je leur criai: « Papa, Maman, sortez-moi
de là ! Je vous en supplie, sortez-moi de là ! » Ils baissèrent alors le regard vers ce trou, et
m’aperçurent. Si vous aviez vu leur immense chagrin…
En ce lieu, on perçoit les sentiments. Quand on regarde vers ce lieu, on éprouve cette douleur
si grande. Mon père se mit à pleurer et à trembler en tenant la tête dans ses mains: « Ma fille,
ma fille ! » disait-il. Maman priait. Je compris qu’ils ne pouvaient me sortir de là et ma peine
augmenta en voyant qu’ils partageaient cette souffrance avec moi.
Aussi, je me remis donc à crier: « Je vous en supplie, sortez-moi d’ici ! Je suis catholique !
Qui a pu commettre une telle erreur ? Je vous en supplie, sortez-moi de là ! ».
Cette fois-ci, une Voix se fit entendre. C’était une voix si douce, que quand je l’entendis, elle
fit tressaillir mon âme. Tout fut alors inondé d’amour et de paix et toutes ces sombres
créatures qui m’entouraient s’enfuirent épouvantées, car elles ne peuvent faire face à l’amour,
ni à la paix.
Cette Voix si belle me dit: « Très bien, puisque tu es catholique, dis-moi quels sont les
commandements de Dieu ? »
Quel coup horrible! Vous entendez ?! Je savais qu’il y avait dix commandements, un point
c’est tout. Que faire maintenant !? Et maintenant, qu’est-ce que je fais ?!
Maman me parlait toujours du premier commandement d’amour. Ça allait enfin me servir. Je
pensais improviser et masquer ainsi mon ignorance des autres (commandements). Je croyais
pouvoir m’en tirer, comme sur terre, où je trouvais toujours la parfaite excuse, où je me
justifiais et me défendais pour qu’on ne se rende pas compte de mon ignorance.
Alors je commençai à dire: « Le premier : tu aimeras le Seigneur ton Dieu par-dessus tout et
ton prochain comme toi-même ». J’entendis alors: « Très bien ! » , puis: « Et toi, les as-tu
aimés ? » Je répondis : « Moi oui, moi oui, moi oui ! »
Et il me fut répondu: « Non. » Et lorsqu’on me dit « Non », là oui, j’ai senti la foudre qui
m’avait traversée, car sur le moment je n’avais rien senti.
« Tu n’as pas aimé le Seigneur ton Dieu par-dessus tout et encore moins ton prochain comme
toi-même. Tu t’es créé un dieu que tu accommodais à ta vie et dont tu te servais uniquement
en cas d’extrême nécessité.
Tu te prosternais devant lui quand tu étais pauvre, quand ta famille était humble et que tu
voulais faire carrière. À ces moments-là, oui, tu priais tous les jours et tu t’agenouillais de
longues heures pour supplier ton dieu de te sortir de la misère; pour qu’il t’accorde le
diplôme qui te permettrait de devenir quelqu’un. Quand tu avais besoin de quelque chose,
quand tu voulais de l’argent, là oui, tout de suite un chapelet, Seigneur… mais avoue-le : telle
était ta relation avec le Seigneur ».
Oui, je dois le reconnaître avec tristesse, ma relation avec mon Seigneur, avec Dieu, était celle
« du distributeur automatique ». J’ expédiais un chapelet et il devait tendre l’argent, telle
était ma relation avec le Seigneur. On me montra qu’aussitôt le diplôme en poche et la
notoriété obtenue, je n’ai pas eu le moindre sentiment d’amour envers le Seigneur. Être
reconnaissante: non, jamais !
Lorsque j‘ouvrais les yeux le matin, jamais un « merci Seigneur, pour le jour nouveau que tu
me donnes à vivre, merci pour ma santé, pour la vie de mes enfants, pour le toit que j’ai,
malheureux ceux qui n’en ont pas, et qui n’ont pas de quoi manger ! » Rien, c’était
l’ingratitude la plus totale !
« En outre, tu plaçais le Seigneur si bas que tu avais davantage confiance en Mercure et
Vénus pour t’apporter la chance. Tu étais liée à l’astrologie, clamant que les étoiles dirigeaient
ta vie !
Tu te tournais vers toutes les doctrines qu’offre le monde. Tu as fini par croire que tu allais
mourir et te réincarner ! Et tu as oublié la Grâce. Tu as oublié que le Seigneur t’avait rachetée
au prix de son Sang ! »
On me mit à l’épreuve des dix commandements. On me montra que je prétendais par des
mots aimer et adorer Dieu, mais qu’en réalité, c’était satan que j’adorais.
Ainsi, un jour, une femme était entrée dans mon cabinet dentaire pour m’offrir ses services
de magie et je lui avais dit: « je n’y crois pas, mais laissez ces porte-bonheur ici au cas où ça
marcherait ». J’avais remisé dans un coin un fer à cheval et un cactus, censés éloigner les
mauvaises énergies.
Voyez comme tout cela est honteux!
On examina toute ma vie à partir des dix commandements. Il me fut montré quel avait été
mon comportement vis-à-vis de mon prochain, comment je prétendais aimer Dieu : avant de
m’éloigner de Lui, avant de devenir athée, je disais « Seigneur, je t’aime ». Mais avec cette
même langue qui bénissait Dieu, je critiquais tout le monde, je pointais chacun du doigt, moi
toujours la très sainte Gloria! On me montra aussi combien j’étais envieuse… et quelle ingrate
!
« Jamais tu n’as reconnu tous les efforts et l’amour de tes parents, et le don d’eux-mêmes
pour que tu aies une profession, pour que tu t’élèves. Dès l’obtention de ton diplôme, même
eux devinrent inférieurs à toi, au point que tu en arrivas à avoir honte de ta mère en raison de
son humble condition et pauvreté. »
On me montra aussi qui j’étais en tant qu’épouse : je me plaignais tout le temps, dès le lever.
Si mon mari disait « bonjour », je répliquais : « Quel bon jour, s’il pleut dehors ? ».
Je me plaignais aussi continuellement de mes enfants. Il me fut montré que je n’avais jamais
aimé ni eu de compassion pour mon prochain, pour mes frères et soeurs de l’extérieur.
Et le Seigneur me disait : « Jamais tu n’as même pensé ‘pauvres malades, Seigneur ! Donnemoi
la grâce d’aller là-bas, les accompagner dans leur solitude. Les enfants qui n’ont pas de
maman, les petits orphelins, combien d’enfants qui souffrent, Seigneur’ »…
Quel coeur de pierre ! Dans cette épreuve des dix commandements, je n’avais même pas la
moyenne. C’était terrible, épouvantable ! J’étais totalement bouleversée.
Et je me disais: « au moins on ne pourra pas me blâmer d’avoir tué un tas de monde ! »
Mais par exemple, si j’achetais des provisions pour les nécessiteux; ce n’était pas par amour,
mais pour mon image, car c’était très agréable que tous me remercient et très agréable de
manipuler les gens en utilisant leurs besoins. Je leur disais: « Prenez ces provisions et allez à
ma place à la réunion des parents et des professeurs parce que je n’ai pas le temps d’y assister
».
En outre, cela m’enchantait qu’on me coure après en disant à quel point j’étais bonne et
sainte. J’avais créé une image de moi-même !
« Ton dieu c’était l’argent », me dit-on encore. « Tu as été condamnée à cause de l’argent :
C’est pour cette raison que tu as sombré dans l’abîme et que tu t’es éloignée de ton
Seigneur ».
Nous avions effectivement été riches, mais à la fin nous étions devenus insolvables, sans le
sou et criblés de dettes. Alors pour toute réponse, je criai: « Quel argent ?! Sur terre, j’ai laissé
beaucoup de dettes ! »
Lorsqu’on en vint au second commandement, je vis avec tristesse que dans mon enfance,
j’avais vite compris que le mensonge était un excellent moyen d’éviter les sévères punitions
de maman.
J’avais commencé à marcher main dans la main avec le père du mensonge (Satan) et j’étais
devenue menteuse. Et mes mensonges augmentaient à la mesure de mes péchés. J’avais
remarqué combien maman respectait le Seigneur et Son Nom Très Saint; et je vis là une
arme : je me mis à prononcer Son Nom en vain. Je disais: « Maman, je jure sur Dieu que... ».
Et ainsi, j’évitais les punitions. Imaginez mes mensonges, appliquant le Nom Très Saint du
Seigneur sur mes saletés, sur mes immondices, parce que j’étais déjà pleine de crasse et de
péché !
Et remarquez, frères et soeurs, que les paroles « le vent ne les emporte pas » sont vraies, car
lorsque ma mère ne me croyait pas, j’avais pris l’habitude de lui dire: « Maman, si je mens,
que l’éclair me coupe en deux ici et maintenant ». Si les mots se sont envolés avec le temps, il
se trouve que la foudre m’a bel et bien frappée et a manqué de me couper en deux; elle m’a
carbonisée et c’est grâce à la Miséricorde Divine que je suis ici maintenant.
Il me fut montré comment, moi qui me disais catholique, je ne respectais aucune de mes
promesses et combien j’utilisais avec légèreté le nom de Dieu…
Je fus surprise de voir qu’au passage du Seigneur, toutes ces horribles créatures qui
m’entouraient se jetaient au sol en une adoration impressionnante. Je vis la Vierge Marie aux
pieds du Seigneur qui priait pour moi avec une extrême adoration. Et moi pécheresse, du
milieu de mes immondices, je tutoyais le Seigneur. Moi si bonne : rouspétant contre le
Seigneur et le maudissant...
Pour ce qui est de ma sanctification des Fêtes, ce fut épouvantable et j’en éprouvai une
douleur intense. La voix me disait que je passais quatre ou cinq heures à m’occuper de mon
corps et que je n’avais même pas dix minutes quotidiennes d’amour profond à l’égard du
Seigneur, en action de grâces ou en prière. Ça oui, je commençais un chapelet à toute vitesse
puis je me disais: « je peux le terminer pendant les publicités, au milieu du feuilleton ».
On me montra combien je fus ingrate à l’égard du Seigneur et ce que je disais quand j’avais la
flemme d’aller à la messe. Je disais à maman: « Dieu est partout, pourquoi devrais-je y aller
? »... Bien sûr, c’était très commode de dire cela.
Et la voix me répéta que Dieu veillait sur moi 24 heures sur 24 et qu’en retour je ne lui
accordais même pas une petite prière; pas même le dimanche pour rendre grâces et lui
montrer ma gratitude et mon amour. C’était trop, pour moi !
Le pire dans tout ça, c’est que l’église aurait dû être le « restaurant » de mon âme. Je prenais
soin de mon corps, j’en étais l’esclave mais j’oubliais un détail : j’avais une âme et je devais
aussi l’alimenter. Or jamais je ne la nourrissais de la Parole de Dieu, car cela m’arrangeait
bien de dire que celui qui lit la Parole de Dieu devient fou.
En ce qui concerne les Sacrements, c’était le néant. Moi, aller me confesser chez ces vieux
messieurs qui étaient pires que moi ? C’était très commode pour moi, au milieu de mes
cochonneries, de ne pas aller me confesser. Le diable me détournait de la confession et c’est
ainsi qu’il empêchait mon âme d’être propre et de guérir.
Chaque fois que je commettais un péché, ce n’était pas gratuit : satan y laissait sa marque sur
la blancheur de mon âme: une marque de ténèbres. Excepté pour ma première communion,
je n’ai jamais fait une bonne confession. A partir de là, j’ai reçu mon Seigneur indignement.
Le blasphème et l’incohérence dans ma vie avaient atteint un tel point que j’en arrivai à dire :
« La Sainte Eucharistie ?! Peut-on imaginer Dieu vivant dans un morceau de pain ?! Les
prêtres devraient y ajouter de la confiture de lait pour lui donner du goût !» Voilà à quel point
s’était dégradée ma relation avec Dieu.
Je n’ai jamais nourri mon âme et pis encore, je critiquais les prêtres constamment. Vous
auriez dû voir combien je m’y appliquais ! Dans ma famille et depuis notre plus tendre
enfance, nous critiquions les prêtres, à commencer par mon père, et on avait l’habitude de
dire que ces gens-là étaient encore plus coureurs de jupons que les laïcs, qu’ils avaient plus
d’argent que nous, et nous le répétions.
Et le Seigneur me dit: « Qui te croyais-tu pour prendre la place Dieu et juger ainsi mes oints
?! Ce sont des hommes et la sainteté d’un prêtre vient de la communauté qui prie pour lui,
qui l’aime et le soutient. Quand un prêtre tombe dans le péché, il ne lui est pas demandé
autant qu’à la communauté.»
Et le Seigneur me montrait qu’à chaque fois que je critiquais un prêtre, des démons se
collaient à moi.
Mis à part cela, si vous imaginiez tout le mal que j’ai fait quand j’ai accusé un prêtre
d’homosexualité et que toute la communauté en fut informée !
En ce qui concerne le 4ème commandement, « Tu honoreras ton père et ta mère », comme je
vous l’ai dit, le Seigneur me fit voir mon ingratitude vis-à-vis de mes parents ; comment je
disais du mal d’eux et réclamais parce qu’ils ne pouvaient m’offrir toutes les choses dont
disposaient mes amies ; comme j’étais une fille qui n’accordait pas de valeur à ce qu’elle avait.
J’en étais même arrivée au point où je disais que je ne connaissais pas ma mère parce qu’elle
n’était pas à mon niveau. Ce fut effrayant de voir le résumé d’une femme sans Dieu et
comment une femme sans Dieu détruit tout ce qui s’en approche. Le pire, c’est que je sentais
que maman était bonne et sainte.
Le Seigneur me montra aussi comment je pensais ne pas avoir désobéi à ce commandement
simplement parce que j’avais payé les factures du médecin et du pharmacien lorsque mes
parents étaient tombés malades. Il me montra également comment, analysant tout en
fonction de l’argent, je les avais manipulés quand j’en avais, allant jusqu’à profiter d’eux.
L’argent m’avait divinisée et je les avais piétinés.
Savez-vous ce qui m’a fait le plus mal ? De voir mon père pleurer tristement : il avait été un
bon père malgré tout, qui m’avait appris à être travailleuse, entreprenante et honorable, car
seul celui qui travaillait pouvait aller de l’avant.
Cependant il avait oublié un détail important: que j’avais une âme et que par son mauvais
exemple, ma vie avait commencé à basculer. Je souffrais quand je voyais mon père courir les
jupons. Lui, il en était heureux et disait à maman et à qui voulait l’entendre qu’il était très
viril parce qu’il avait beaucoup de femmes et qu’il était à la hauteur avec toutes. En plus, il
fumait et buvait et il était fier de ces vices. Pour lui ce n’étaient pas des vices, mais des vertus.
Et je commençai à m’apercevoir que maman pleurait quand papa parlait d’autres femmes.
Cela me remplit peu à peu de colère et de ressentiment et je me rendis compte à quel point ce
ressentiment m’avait conduite vers la mort spirituelle. J’avais ressenti une colère
épouvantable en voyant comment papa humiliait maman devant tout le monde. C’est alors
qu’avait débuté ma rébellion et j’avais dit à maman « je ne ferai jamais comme vous, c’est
pour cela que nous les femmes, nous ne sommes pas considérées, à cause de femmes comme
vous, sans dignité, sans orgueil, qui se laissent piétiner par les hommes. » Et j’avais dit à
papa, quand j’étais plus âgée : « Jamais, entendez-le bien papa, jamais je ne permettrai qu’un
homme m’humilie comme vous le faites avec maman ; si un homme m’est infidèle, je me
vengerai. » Mon papa me frappa en me disant : « Comment oses-tu ?! » Mon papa était très
machiste et je lui avais dit : « C’est ça, frappez-moi et tuez-moi ; si je me marie et que mon
mari est infidèle, je me vengerai pour que les hommes comprennent combien souffre une
femme quand un homme la piétine. »
Et ce ressentiment et cette colère m’envahirent.
Quand j’eus de l’argent je suggérai à maman de quitter son mari, et pourtant j’adorais papa: «
Vous ne pouvez continuer plus longtemps avec un homme comme celui-là. Soyez digne,
faites-lui voir que vous valez quelque chose ».
Vous vous rendez compte ? Je voulais divorcer mes parents ! Et Maman de répondre : « Non
ma chérie, ce n’est pas que je ne souffre pas, j’ai mal, mais je me sacrifie car vous êtes sept
enfants et moi je ne suis qu’une seule personne. Je me sacrifie parce que votre père, en fin de
compte, est un bon père, et je serais incapable de m’en aller et de vous laisser sans papa. De
plus, si je partais, qui prierait pour son salut ? Je suis la seule à pouvoir le faire car toutes ces
peines et blessures qu’il m’inflige, je les unis aux souffrances du Christ sur la Croix. Chaque
jour je dis au Seigneur : Ma douleur n’est rien si je l’unis à votre Croix, aussi, je vous en prie,
sauvez mon mari et mes enfants ».
Pour ma part, je ne comprenais pas cela. Cela me remplissait de colère, ma vie changea et je
devins rebelle. Je commençai à prendre la défense des femmes, à encourager l’avortement, la
cohabitation, le divorce et la loi du Talion : qui me fait du mal, le paiera. Je ne fus jamais
infidèle, mais je fis beaucoup de mal à beaucoup de monde, avec mes conseils.
Quand l’on en vint au 5ème commandement, le Seigneur me fit voir l’assassin horrible que
j’avais été en commettant le plus horrible des crimes : l’avortement.
De plus, j’avais financé plusieurs avortements parce que je proclamais qu’une femme avait le
droit de choisir d’être enceinte ou non. Il me fut donné de lire dans le Livre de Vie et je fus
profondément meurtrie, car une fillette de 14 ans avait avorté sur mes conseils. Quand on a
du venin, rien de bon n’en sort… tout ce qui s’en approche en est atteint.
Des fillettes dont trois nièces et la fiancée d’un neveu, avortèrent ; on les laissait venir chez
moi car j’étais celle qui avait de l’argent et invitait, et je leur parlais de séduction, de mode, en
leur montrant comment exhiber leur corps. Ma soeur me les envoyait.
Voyez comment je les ai prostituées, j’ai prostitué des mineures, ce qui fut un autre péché
épouvantable, après l’avortement ! Car je leur disais, à ces filles : « Ne soyez pas bêtes, mes
petites filles… vos mamans vous parlent de virginité et de chasteté parce qu’elles sont
démodées, elles se réfèrent à une Bible vieille de 2000 ans et les curés n’ont pas voulu se
moderniser ; elles répètent ce que dit le pape, mais ce pape est démodé… »
Imaginez mon venin. J’enseignai à ces filles à jouir de leur corps, mais qu’elles devaient
utiliser la contraception. Je leur appris les méthodes de planning « femme parfaite ».
Et cette fille de 14 ans, la fiancée de mon neveu, arrive un jour à mon cabinet (je le vis dans le
Livre de la Vie) et me dit en pleurant : Gloria, je suis un bébé et je suis enceinte », et je lui
dis : « Idiote, ne t’ai-je pas appris le planning ? » « Oui, mais ça n’a pas marché. »
Alors je vis que le Seigneur avait mis cette fille là pour qu’elle ne plongeât pas dans l’abîme,
pour qu’elle n’allât pas avorter, parce que l’avortement est une chaîne qui pèse tellement, que
l’on traîne et qui piétine tout sur son passage ; c’est le vide laissé par le fait d’avoir été un
assassin et qui plus est, d’un fils.
Le pire concernant cette fille, c’est qu’au lieu de lui parler du Seigneur, je lui donnai de
l’argent pour qu’elle aille avorter dans un endroit très bien, afin qu’on ne lui fît pas de mal.
J’ai chapeauté plusieurs avortements tels que celui-là.
Or chaque fois que le sang d’un bébé est versé, c’est un holocauste à Satan, qui blesse et fait
trembler le Seigneur. Je vis dans le Livre de Vie comment notre âme se formait : au moment
où la semence parvient dans l’oeuf, une belle étincelle jaillit, une lumière qui jaillit du soleil de
Papa Dieu. Dès que le ventre de la mère est ensemencé, il s’éclaire de la lumière de cette âme.
Pendant l’avortement, l’âme gémit et crie de douleur, même s’il n’y a pas encore d’yeux ni de
chair. On entend un cri au Ciel lorsqu’on tue la vie, le Ciel défaille… et on entend également
un autre cri en enfer, mais c’est un cri de jubilation !
Combien de bébés sont tués chaque jour !
C’est une victoire pour l’Enfer. Le prix de ce sang innocent libère à chaque fois un démon de
plus. Moi, j’ai trempé dans ce sang et mon âme devint totalement enténébrée.
A la suite de ces avortements, j’avais perdu la conscience du péché. Pour moi, tout était O.K.
Ce fut triste aussi de voir comment le malin m’enchaînait avec tous ces financements
d’avortement.
Je vis également combien de bébés j’avais tués en portant le stérilet de cuivre. Ce fut
douloureux de voir combien de petits bébés avaient été conçus, de voir combien de ces soleils
avaient explosé, et d’entendre le cris de ces bébés arrachés aux mains de Papa Dieu.
Il n’est pas étonnant que j’aie toujours été amère, de mauvaise humeur, à faire la tête et me
maugréer contre tous, dépressive. Je me disais (en me voyant dans cet état) : « Quelle
paresse ! », évidemment : j’étais devenue une machine à tuer.
Comment pouvais-je affirmer que je n’avais jamais tué !
Et que dire de toutes les personnes que je trouvais grosses, que je haïssais, que je détestais.
En cela, j’étais également et déjà une assassine !
Parce qu’on ne tue pas seulement d’une balle de révolver. On peut également tuer en haïssant
une personne, en lui faisant du mal, en l’enviant et en la jalousant. Avec ça aussi, on la tue.
Pour ce qui est du 6ème commandement, contre l’impureté, je dis : « Ah non, on ne pourra
me trouver aucun amant, parce que toute ma vie j’ai seulement eu un homme et ce fut mon
mari ». Mais l’on me donna de voir qu’à chaque fois que je dévoilais ma poitrine et que je
portais des mini jupes, j’incitais les autres hommes à me regarder et à avoir de mauvaises
pensées ; je les incitais au péché et c’est ainsi que j’avais commis l’adultère.
De plus, je conseillais aux femmes trompées d’être infidèles à leur mari, je leur disais « ne
soyez pas bêtes, vengez-vous, ne leur pardonnez-pas et divorcez plutôt. » Rien qu’avec ça je
commettais un abominable adultère.
Je réalisai alors que les péchés de la chair sont affreux et condamnables, même si le monde
actuel les trouve géniaux et admet que l’on se conduise comme des animaux.
Malheureusement, j’avais lâché la main du Seigneur, parce que les péchés sont dans les
pensées, dans l’âme et dans les actes.
Ce fut si douloureux de voir combien tous ces péchés, par exemple l’adultère de mon père
avaient blessé et déchiré ses enfants. Il m’avait remplie de ressentiment et quant à mes trois
frères, ils devinrent des copies conformes de leur père, heureux d’être des machos, coureurs
et buveurs… inconscients du tort qu’ils faisaient à leurs enfants. Voilà pourquoi mon père
pleurait avec tant de douleur en constatant que le mauvais exemple donné s’était répercuté
sur eux, sur sa fille, blessant ainsi toute l’oeuvre de Dieu.
Quant au 7ème commandement -ne pas voler-, je me jugeais honnête. Le Seigneur me fit voir
que pendant que la nourriture était gaspillée dans ma maison, le reste du monde souffrait de
la faim. Il me dit : « J’avais faim et regarde ce que tu as fait de ce que je t’ai donné ; comme tu
as gaspillé ! J’avais froid et vois comment tu étais esclave de la mode et des apparences,
dépensant tant d’argent dans des piqûres pour être svelte, esclave de ton corps. En d’autres
termes, tu as fait un dieu de ton corps ! »
Il me fit comprendre que j’étais coupable de la misère de mon pays et que j’y étais bien pour
quelque chose.
Il me montra également que chaque fois que je critiquais quelqu’un, je lui volais son
honneur et qu’il était difficile de la lui rendre. Il eût été préférable pour moi de voler
de l’argent, car l’argent, on peut toujours le restituer, mais pas la réputation !
De plus je dérobais à mes enfants la grâce d’avoir une maman à la maison, une maman
tendre, une maman qui les aime, et non qui les
abandonne pour sortir dans la rue, les laissant avec le papa- télévision, la maman-ordinateur
et les jeux vidéo; et qui pour se donner bonne conscience, leur achète des vêtements de
marque. Le plus affreux fut de revoir ma maman m’interpellant à ce sujet, et cela parce
qu’elle était sainte, qu’elle nous corrigeait et nous aimait ; de même pour mon père.
Je dis : « Que vais-je devenir, moi qui n’ai rien donné à mes enfants… Quelle horreur ! Quel
immense chagrin ! »
J’eus terriblement honte, car dans le Livre de Vie, on voit tout comme dans un film. Et mes
enfants disaient: « Espérons que maman ne rentre pas trop tôt et qu’il y aura des
embouteillages car elle est fatigante et râleuse ». Quelle tristesse, un garçon de trois ans et
une fille plus âgée, disant cela !
En fait, je leur avais volé leur mère, je leur avais volé la paix que j’étais censée apporter à mon
foyer. Je ne leur avais pas donné de connaître Dieu à travers moi, et ne leur avais pas appris
l’amour du prochain. C’est simple: si je n’aime pas mon prochain, je n’ai rien à voir avec le
Seigneur; si je n’ai pas de compassion, je n’ai rien à voir avec Lui non plus. Car Dieu est
Amour… et il est Bon.
Maintenant je parlerai des faux témoignages et du mensonge car j’étais devenue une experte
en la matière. Satan était devenu mon père, car nous avons Papa Dieu et satan. Si Dieu est
amour et que j’ai de la haine, lequel est mon père ? Il n’est pas si difficile de le savoir. Si Dieu
me parle de pardon et d’aimer ceux qui me font du mal et que je réponds « qui me fait du mal
le paie »- et j’étais allée jusque là-, qui est mon papa ? Et si lui est la Vérité et satan le
mensonge, qui est mon papa ?
Il n’y a pas de petits mensonges roses, ni jaunes, ni verts, tous les mensonges sont des
mensonges, et satan est leur père à tous. Les péchés que j’avais commis par ma langue étaient
terribles et je vis tout le mal que j’avais causé avec elle.
Je vis aussi, à chaque fois que je cancanais, que je me moquais d’une personne ou lui
attribuais un surnom dévalorisant, comment cette personne se sentait ! combien ce surnom
lui faisait mal ! Je pouvais complexer une personne un peu enveloppée en l’appelant: « la
grosse »... Je vis tout le mal que je causai ainsi et comment la parole aboutissait toujours à
une action.
Au cours de mon examen sur les dix commandements, l’on me montra que toutes mes fautes
avaient eu pour cause la convoitise, ce désir fou. J’avais toujours pensé que je serais heureuse
en ayant beaucoup d’argent. Et l’argent devint une obsession. C’est vraiment dommage, car
pour mon âme les moments les plus terribles avaient été ceux où j’avais disposé de beaucoup
d’argent.
J’avais même pensé au suicide. Avec tant d’argent, je m’étais trouvée seule, vide, amère et
frustrée. Cette obsession d’avoir de l’argent m’avait détournée du Seigneur et fait lâcher sa
main.
Après l’examen des dix commandements, le Livre de Vie me fut montré. Il est si beau ! Je
voudrais avoir les mots adéquats pour le décrire.
Mon Livre de Vie commença depuis ma conception, lorsque les cellules de mes parents
s’unirent. Immédiatement, il y eut une étincelle, une magnifique explosion et une âme était
ainsi formée, la mienne, créée par les mains de Papa Dieu. Je découvris un Papa Dieu si beau,
si merveilleux ! Il veillait sur moi 24h sur 24, me cherchant. Et ce que je considérais comme
des châtiments, ce n’était rien de moins que son Amour, car il ne regardait pas mon corps
charnel mais mon âme, et il voyait combien je m’éloignais du salut.
Tel était le « Livre de Vie ». Je vais vous donner un autre exemple de combien était beau le
Livre de Vie :
J’étais très hypocrite. Je disais aux gens, à quelqu’un: « Comme tu es belle, quelle belle robe,
elle te va si bien ! » Mais je pensais en moi-même: quelle allure dégoûtante, et en plus, elle se
prend pour une reine ! »
Dans le Livre de Vie, je vis exactement ce que j’avais dit, mais également mes pensées et le
fond de mon âme.
Tous mes mensonges s’y trouvaient en rouge vif, bien vivants, et tous pouvaient les voir.
Je trompais souvent maman, car elle ne me permettait d’aller nulle part. « Maman, j’ai un
travail en groupe à la bibliothèque », et maman croyait à cette histoire. Et j’allais voir un film
porno ou boire une bière dans un bar avec mes amies. Quand je pense que maman a vu
défiler ma vie et que rien ne lui a échappé !
Le Livre de Vie est vraiment très beau. J’y vis que mes parents me donnaient des bananes
pour mes onze heures. A l’époque mes parents étaient pauvres, par conséquent mon panier
contenait des bananes, des amuse-bouche, ainsi que du lait. Je mangeais les bananes et je
jetais les peaux par terre de tous côtés. Je n’ai jamais eu conscience que de laisser une peau
de banane pouvait blesser quelqu’un. Et la peau de banane restait là…
Le Seigneur me montra certaines fois, pas toutes, où une personne avait glissé sur une de mes
peaux de bananes; j’aurais pu la tuer par mon manque de compassion.
Il me fit voir que la seule fois de ma vie où je fis une confession bien faite, avec regret et
repentance, fut lorsqu’une femme me rendit 4500 pesos de trop dans une épicerie de Bogota.
Mon père nous avait appris l’honnêteté et qu’il ne fallait toucher à aucun centime de
personne. En allant au travail, tandis que je conduisais, je me rendis compte de l’erreur.
« Ah, cette vieille idiote, cet animal m’a donné 4500 pesos de trop et maintenant je dois
retourner à son magasin !», me dis-je. Il y avait un embouteillage énorme. « Ah non,
pourquoi je les lui rendrais ? ça lui apprendra à être aussi stupide !». Mais la blessure causée
par cet argent demeura en moi, parce que papa avait très bien ancré le sens de l’honneur en
nous. Alors j’allai me confesser le dimanche suivant : « Père, je m’accuse d’avoir volé 4500
pesos, car je ne les ai pas rendus à une dame. » Je n’ai même pas prêté attention à la réponse
du confesseur. Mais le malin ne pouvait en tout cas pas m’accuser d’être voleuse.
Cependant savez-vous ce que le Seigneur me dit ? « Tu as manqué de charité, quand tu n’as
pas réparé ce péché. Pour toi, 4500 pesos, ce n’était rien, mais pour cette femme qui ne
gagnait que le salaire minimum, cette somme représentait l’équivalent de trois jours de
nourriture. »
Le plus triste, c’est que le Seigneur me montra combien elle en avait souffert, supportant la
faim durant deux jours, par faute, avec ses deux petits. Car le Seigneur me montrait les
choses ainsi : quand j’ai fait quelque chose, qui en avait souffert, qui avait agi et comment il
avait agi.
Ensuite le Seigneur me posa la question suivante : « Quels trésors spirituels apportes-tu ? »
De trésors spirituels, mes mains étaient dépourvues, je n’apportais rien dans mes mains, elles
étaient complètement vides. Il me dit alors : «A quoi cela te sert-il, d’avoir dit que tu
possédais deux appartements, des maisons et des cabinets, que tu te considérais comme une
professionnelle très accomplie ? As-tu pu apporter ne serait-ce qu’un peu de poussière d’un
carreau? »
Il ajouta : « Qu’as-tu donc fait des talents que je t’ai donnés? »
Des talents ? J’avais une mission : cette mission, c’était de défendre le Royaume de l’Amour,
le Royaume de Dieu. Oui, j’avais oublié que j’avais une âme; aussi comment pouvais-je me
souvenir que j’avais des talents ? J’avais oublié que j’étais les mains miséricordieuses du
Seigneur. Que tout ce bien que je n’avais pas fait, avait blessé le Seigneur.
Le Seigneur continua de me questionner à propos du manque d’amour et de charité envers le
prochain. Il me questionna encore et encore à propos de l’amour : « Telle fut ta mort
spirituelle... »
Sur terre, j’étais vivante, mais en réalité j‘étais morte. Si vous voyiez ce qu’est la mort
spirituelle! Ce qu’est une âme haineuse, une âme terrifiante par son amertume, son dégoût de
tout, une âme pénible, qui blesse tout le monde !
Je voyais comment on est, quand on est plein de péchés. Mon âme, extérieurement, sentait
très bon et portait de beaux vêtements; mais intérieurement elle puait et habitait les
profondeurs de l’abîme. Ce n’est pas étonnant si j’étais si dépressive et amère.
Et le Seigneur me dit :
« Ta mort spirituelle a commencé lorsque tu as cessé de compatir avec tes frères.
C’était un avertissement lorsque tu voyais les souffrances de tes frères partout, ou dans les
médias, des meurtres, des enlèvements, la situation des réfugiés, et toi, tu disais du bout des
lèvres : « Oh les pauvres ! Comme c’est triste ! ». Mais en réalité, tu n’avais pas mal pour eux,
tu ne ressentais rien dans ton coeur. Il était tout de pierre, le péché l’a pétrifié. »
Vous ne pouvez imaginer l’immensité de mon chagrin lorsque mon Livre de Vie se referma.
Quelle douleur à part ça, de m’être comportée de la sorte envers Papa Dieu, car en dépit de
tous mes péchés, de toutes mes saletés, de toutes mes indifférences et de mes sentiments
horribles, le Seigneur avait toujours cherché à m’atteindre, jusqu’au bout. Il m’avait envoyé
des instruments, des personnes, Il m’avait parlé, avait crié, m’avait repris des choses pour me
trouver. Il m’avait cherché jusqu’au dernier instant. Savez-vous qui est Papa Dieu ? Il se fait
Mendiant pour obtenir notre conversion !
Et moi je lui répondis : « Ecoutez, Seigneur, vous m’avez condamnée ! ». Bien sûr qu’il ne
l’avait pas fait. Par mon libre arbitre, j’avais moi-même choisi mon papa et ce n’était pas
Dieu ; j’avais choisi satan, celui-là avait été mon papa.
Lorsque le Livre de la Vie se referma, je remarquai intérieurement que j’étais tête en bas, car
je me dirigeais vers un trou au fond duquel une porte allait s’ouvrir.
Tandis que je commençais à descendre là-dedans, je me mis à appeler tous les Saints du Ciel
pour qu’ils me sauvent. Vous n’avez pas idée de tous les noms de Saints qui me revinrent à
l’esprit. Je n’avais aucune idée que j’en connaissais autant, car j’étais une si mauvaise
catholique que je croyais que de toute façon je me sauverais ! J’appelais tantôt St Isidore ou
St François d’Assise et lorsque ma liste s’épuisa, le silence s’installa. J’éprouvai alors un si
grand vide et une peine si profonde…
Je pensai à tout ce monde sur la terre, qui croyait que j’étais tellement sainte, qu’ils
attendaient que je meure pour me demander un petit miracle… Et voilà où j’allais !
Je levai les yeux et mon regard croisa celui de ma maman.
Avec une intense douleur, je criai vers elle : « Maman, comme j’ai honte ! J’ai été condamnée,
Maman. Là où je vais, je ne te reverrai plus jamais ! ».
A ce moment, une grâce magnifique lui fut accordée. Elle était immobilisée mais on lui
permit de bouger ses deux petits doigts qui pointèrent vers le haut. Deux écailles
effroyablement douloureuses se détachèrent alors de mes yeux: c’était mon aveuglement
spirituel.
Il disparut alors et je revis un moment très beau de ma vie : un de mes patients m’avait dit
une fois: « Docteur, vous êtes très matérialiste, et un jour vous aurez besoin de ceci: en cas de
danger imminent, quel qu’il soit, demandez à Jésus-Christ de vous couvrir de son sang, parce
que LUI, jamais, jamais, Il ne vous abandonnera. Parce que LUI a payé le prix de son Sang
pour vous. »
Avec une honte et une douleur immenses, je me mis à crier: «Jésus-Christ, Seigneur, ayez
pitié de moi ! Pardonnez-moi, Seigneur, donnez-moi une seconde chance ! »
Et ce fut le plus beau moment, je n’ai pas de mots pour le décrire.
Jésus descendit et me tira de ce trou. Quand Il me souleva, toutes ces horribles créatures
s’aplatirent au sol. Il me souleva, me déposa sur ce replat, et me dit avec tout son amour :
« Tu vas retourner sur terre, tu auras ta seconde chance (…) »
« Mais ce n’est pas à cause des prières de ta famille, car il est normal qu’ils prient et
implorent pour toi. C’est grâce à l’intercession de tous les étrangers à ta chair et à ton sang
qui ont pleuré, prié et élevé leur coeur avec un profond amour pour toi ».
Et je vis beaucoup de petites lumières s’allumer, telles des petites flammes blanches, pleines
d’amour. Je vis les personnes qui priaient pour moi. Mais il y avait une flamme beaucoup,
beaucoup plus grande, c’était celle qui dégageait le plus de lumière et de laquelle jaillissait le
plus d’amour. J’essayai de distinguer qui était cette personne qui m’aimait tant.
Le Seigneur me dit: « Cette personne que tu vois là est une personne qui t’aime tellement,
tellement, et pourtant elle ne te connaît même pas ». Et Il me montra que cet homme avait lu
une coupure de presse de la veille en descendant au village, et il était bien pauvre. C’était un
paysan qui habitait au pied de la Sierra Nevada de Santa Marta (au nord-est de la Colombie).
Ce pauvre homme était descendu au village acheter un pain de sucre de canne. Le sucre avait
été emballé dans une feuille du journal « El Espectador » de la veille et il y avait vu ma photo,
toute brûlée que j’étais. Lorsque l’homme me vit ainsi, sans même avoir lu l’article en entier,
il tomba à genoux et commença à sangloter avec un amour profond. Il dit : « Père, Seigneur,
aie pitié de ma petite soeur. Seigneur sauve-la. Seigneur, si tu la sauves, je te promets que
j’irai en pèlerinage au sanctuaire de Buga (qui se trouve dans le Sud- Ouest de la Colombie).
Mais je t’en prie, sauve-la ! »
Imaginez ce pauvre homme : loin de se plaindre et de maudire le Seigneur d’avoir faim, il
avait une telle capacité d’amour, qu’il s’offrait de traverser tout un pays pour quelqu’un qu’il
ne connaissait même pas!
Et le Seigneur me dit : « C’est cela, aimer son prochain »…
Et il ajouta : « Tu vas repartir (sur terre) et tu raconteras ce qui t’est arrivé, non pas mille fois
mais mille fois mille fois.
Et malheur à ceux qui ne changeront pas après avoir entendu ton témoignage, car ils seront
jugés plus sévèrement, tout comme tu le seras lorsque tu reviendras ici ; de même pour mes
oints, les prêtres, car il n’est pire sourd que celui qui refuse d’entendre ni de pire aveugle que
celui qui refuse de voir ! »
Ce témoignage, mes frères et soeurs, n’est pas une menace. Le Seigneur n’a pas besoin de
nous menacer, au contraire : c’est une seconde chance qui s’offre à vous, et Dieu merci, si j’ai
vécu ce que j’ai vécu ! Car lorsque chacun d’entre vous mourra et que son Livre de Vie
s’ouvrira devant lui, nous verrons ce moment exactement tel qu’il est maintenant, et nous
nous verrons tous tels que nous sommes là, à la différence près que nous verrons aussi nos
pensées et nos sentiments en la présence de Dieu; le plus beau c’est que chacun verra le
Seigneur face à lui, mendiant encore une fois, à cet instant, notre conversion, afin que nous
devenions véritablement une nouvelle Créature avec Lui. Sans Lui, nous ne le pouvons pas.
Que le Seigneur vous bénisse tous abondamment.
Gloire à Dieu ! Gloire à Notre Seigneur Jésus-Christ ! »

SOUFFLEUX Le 13/03/2011

JE ME TOURNE VERS VOUS SAINTE RITA POUR INTERCEDER AUPRES DE DIEU POUR LA GUERISSON D'YVETTE DONT JE SUIS RESPONSABLE DE LA RECHUTE DE SA MALADIE .SI DIEU PEUT LUI REDONNER SANTE CAR C'EST VERS MOI QU'IL DEVRAIT TRANSMETTRE TOUTES LES SOUFFRANCES QUE DIEU INFLIGE A YVETTE.MERCISAINTE RITA POUR VOTRE AIDE A VENIR.

eric Le 24/02/2011

Prions tous pour nos pauvres âmes, nous qui sommes en souffrance, et plus particulièrement pour ceux dont le démon a pris possession. Prier est déjà un acte d'espoir envers jésus-Christ et Dieu. Dans ce monde de plus en plus volatile à tous les niveaux, sans sombrer dans l'extrémisme religieux , souvenons de Jésus-Christ et de tous les apôtres et surtout de leur extrême bonté. Le fait de faire du bien et d'aider les autres n'est-il pas une sorte de prière envers la religion chrétienne et l'homme ?

+t+ Le 15/02/2011

merci pour toutes ces prières
longues vies à votre blog

suzanne Le 14/02/2011

sainte rita
depuis des mois j'implore votre aide .aujourd'hui encore je viens vers vous , vous supplier de vous tourner vers moi et de m'aider à surmonter l'épreuve que Dieu m'envoie
mon ami et ex compagnon m'a fait du mal en tromperies , mensonges et méchancetés gratuites
Demandez à Dieu et à la sainte vierge Marie de lui ouvrir les yeux et le coeur afin qu'il ne voit pas uniquement avec son sexe mais avec son coeur
saint Jude ayez pitié de ma souffrance aidez nous , nous tous qui avons confiance en votre aide

Marie Le 27/01/2011

Très Sainte Vierge,
Une fois encore je m'adresse à vous... Aidez Michel à reprendre ses esprits, à se reconnecter à de bons sentiments, d'amour, d'amitié... Qu'il retrouve son chemin avec moi.
Merci de tout coeur.

lud Le 21/01/2011

Protégeons ce site par la prière
merci à ceux qui font le bien sur cette terre
vive Jésus

marie Le 23/10/2010

bonjour,
aidez moi a prier pour mon fils de 11ans qui a de graves problemes de comportements a l école.j ai rendez vous avec l assistante sociale du college pour discuter de cette situation je l eleve seule te lui donne tous les moyens pour bien étudier mais rien a faire je n en peux plus je souffre terriblement ,aidez moi .merci beeaucoup.

Écrire un message sur le livre d'or

En cochant cette case, j'accepte que les données soumises par ce formulaire soient utilisées pour un affichage sur le site et traitées en accord avec notre politique de confidentialité.
 

Créer un site internet avec e-monsite - Signaler un contenu illicite sur ce site