Divine Miséricorde by Patrick ROBLES
"Sauver l'humanité, sauver tous les êtres vivants et la paix dans le monde sont mes objectifs et mon chemin." (Ram Bahadur Bomjan).
Palden Dorje (né le 9 mai 1989), plus connu sous son nom de prêtrise Ram Bahadur Bomjon (राम बम्जन, parfois Banjan), est un jeune homme du village de Ratanapuri, zone de Bara, au Népal, qui a attiré des milliers de visiteurs et l'attention des médias en 2005 pour être demeuré au pied d'un arbre 8 mois en méditation.
Le phénomène :
Il ne mange ni ne boit au yeux de tous, et ses admirateurs considèrent qu'il a médité sans boire d'eau pendant six mois, ce qui serait un cas d'inédie. Néanmoins, entre 17 heures et 5 heures, un écran est déployé pour cacher Ram Bahadur des yeux du public. De plus, nul, à part sa famille, ne peut l'approcher à moins de 50 mètres.
Le 14 novembre 2005, une équipe médicale l'a observé pendant une demi-heure et a conclu qu'il était vivant et qu'ils avaient besoin de l'observer pendant au moins une semaine pour arriver à une conclusion. En décembre 2005, il a été observé et filmé par un comité de 9 scientifiques sous la tutelle de Gunjaman Lama, durant 48h, sans pouvoir l'approcher à moins de 3 mètres. Le comité a demandé à lui faire une prise de sang pour vérifier son taux de sucre pour savoir s'il avait pris de la nourriture mais la demande a été refusée comme tous les examens physiques. Selon les proches de Ram Bahadur Bomjon, sa méditation ne doit être perturbée à aucun prix.
De nombreux dévots de cet adolescent le considèrent comme une réincarnation de Gautama Bouddha. Cependant, selon le système de pensée bouddhique Ram Bahadur Bomjon ne saurait être la réincarnation de Bouddha, celui-ci ayant mis fin au cycle des renaissances, le Saṃsāra.
Le nombre de personnes se rendant sur place pour voir Ram Bahadur Bomjon a amené le gouvernement à déployer des militaires.
Disparition et réapparition :
Le jeune homme a disparu le 11 mars 2006, les autorités ne savent pas s'il est parti de lui même ou s'il a été enlevé, mais certains laissent déjà entendre qu'il serait parti dans un autre lieu, plus discret et « secret » (ce qui expliquerait que certains membres de sa famille manquent aussi à l'appel), devant l'afflux de milliers d'admirateurs du monde entier, dans le but de pouvoir continuer et mener à bien sa méditation de 6 ans.
Il a fait une réapparition le 29 mars 2006, et a été retrouvé dans l'est du royaume népalais le 26 décembre 2006. Selon un journaliste népalais, qui affirme l'avoir rencontré récemment, le « Petit Bouddha » a passé ces longs mois à errer dans les forêts et observe « une période de piété qui se poursuivra durant six ans ».
Source : Wikipedia.
200.000 pèlerins du monde entier qui sont venus lui rendre hommage.Depuis le 17 mai 2006, Ram, un jeune homme pauvre de la province népalaise du Téraï, médite jour et nuit assis entre les racines d'un imposant banian, insensible aux intempéries. Notre photographe n'a été autorisé à s'approcher qu'à 10 mètres de celui que l'on surnomme Little Bouddha.
L'Asie et les bouddhistes du monde entier sont sous le choc : « l'Eveillé » aurait un héritier. Des milliers de personnes se rendent quotidiennement dans la jungle Bara, au Népal, pour honorer Ram Bahadur Bomjan, un adolescent de 16 ans qui demeure immobile sous un banian depuis huit mois, sans se nourrir, boire ou dormir. Assis en position du lotus, Ram médite silencieusement devant des pèlerins de plus en plus nombreux. Alors que la rumeur parle de la réincarnation de Siddharta Gautama, le prince qui, il y a 2 500 ans, avait abandonné le luxe et les plaisirs pour la méditation et la vie simple, les autorités népalaises ont commandité une enquête auprès des sommités scientifiques et religieuses du pays. En dépit des médecins qui assurent qu'il est impossible de jeûner pendant plus d'un mois, le public veut croire au miracle. Et, signe des temps de trouble, à l'avènement d'un homme complètement détaché de ce monde et de ses tourments.
Alors qu'une vague de froid s'est abattue sur le Népal, le jeune homme ne semble pas en être affecté. Même en cette saison hivernale,2006 il médite continuellement, simplement vêtu d'une pièce de tissu. "Il ne sent pas le froid, même en cette période d'hiver" explique le lama Prem, cousin de Ram Bahadur Bomjon. "Il est en unité avec Dieu" dit sa mère qui précise que son fils était différent des autres enfants, refusant de manger de la viande ou de boire de l'alcool. De même, il ne s'est jamais battu avec personne et avait le goût de la solitude.
De nombreux habitants des villages voisins se sont portés volontaires pour organiser le lieu de méditation et protéger la tranquilité de Ram Bahadur Bomjon du flot des visiteurs qui ne peuvent accéder au site que par groupes de 14 personnes.
Les autorités népalaises tentent par ailleurs de limiter les visites pour d'autres raisons. Le pays connaît depuis plusieurs années des affrontements entre les forces gouvernementales et des rebelles maoïstes, et les responsables locaux craignent que la manne financière apportée par la vente de photos et de vidéos bénéficie en grande partie aux rebelles, ce que dément l'organisation des lamas et villageois qui gèrent le site.
A l'initiative des autorités locales, une équipe de 8 médecins conduits par le Dr Ramlakhan Sah, directeur de l'hôpital du district, sont venus observer le méditant à une distance de 5 mètres. "En une demi-heure, il a inhalé 3 fois, avalé sa salive une fois, et remué les paupières une fois" indique le Dr Sah qui ajoute que même si le jeune homme mangeait pendant la nuit comme des septiques le supposent, il est de toute façon extraordinaire de pouvoir rester assis dans la même position pendant 12 heures d'affilée. Le Dr Sah pense qu'une investigation plus poussée serait nécessaire pour que l'expérience constitue une remise en question des connaissances médicales établies. Seule une prise de sang pour mesurer le taux de glucose permettrait de confirmer ou de démentir une éventuelle absorption de nourriture. Mais le comité qui protège le méditant s'oppose formellement à tout examen qui nécessiterait de toucher le jeune homme et troublerait ainsi gravement le cours de sa méditation.
Un lama enseignant au monastère de Pharping, Hyayalu Ringpoche (un proche du Dalai Lama), est également venu observer le jeune méditant. Ayant lui aussi pratiqué une méditation pendant 6 ans (mais sans jeûne), il indique que la méditation est un phénomène normal pour les Bouddhistes, mais qu'il est encore trop tôt pour appeler le jeune homme "Bouddha". Ram Bahadur Bomjon lui-même avait demandé avant de commencer sa méditation à ne pas être appelé ainsi, précisant qu'il aspirait simplement à devenir "bodhisattva" (stade d'éveil qui précède l'état de Bouddha ou d'éveil total).
Népal : mais où est passé le petit Bouddha ?
(Article dans Libération du 16/03/06).
Où est Ram Bahadur Bomzon ? Depuis samedi matin, villageois et policiers sont en train de passer le sud-est du Népal au peigne fin dans l'espoir de retrouver la trace de cet adolescent de 16 ans que beaucoup considèrent comme une réincarnation du Bouddha, disparu il y a 2 500 ans. Les yeux mi-clos, assis en position du lotus et vêtu d'une simple toge blanche, le garçon méditait en effet sous un arbre depuis le 16 mai 2005. Prétendument sans boire, ni manger, ni bouger. Pèlerins ou simples curieux, des centaines de personnes déferlaient chaque jour des quatre coins du royaume pour le voir, marchant pieds nus sur la route en terre qui serpente dans la forêt décorée de milliers de drapeaux bouddhistes pour rejoindre le figuier peepal sous lequel il s'était installé.
Depuis six jours, celui qui a hérité du surnom de «petit Bouddha» est cependant introuvable. A-t-il tenté de trouver un site plus tranquille pour poursuivre sa méditation loin des regards ? A-t-il au contraire décidé de disparaître avant d'être découvert comme imposteur ? Les autorités locales enquêtent, tout en démentant les rumeurs qui circulent sur un éventuel enlèvement. Cette disparition constitue néanmoins un rebondissement inattendu dans la saga qui tient le Népal en haleine depuis maintenant dix mois. D'autant que, selon son cousin et unique ami d'enfance, Prem Lama, Ram Bahadur Bomzon aurait affirmé lors d'une de ses rares prises de parole quatre en tout qu'il «ne s'arrêterait pas de méditer avant six ans, comme le Bouddha». Né dans une famille royale en 560 avant notre ère, Siddharta Gautama avait abandonné à 29 ans sa vie de luxe et de plaisirs pour partir à la recherche de «l'éveil» hors de son royaume. Il aurait ensuite passé six années à pratiquer la méditation à Bodh Gaya, dans le nord de l'Inde, avant de parvenir à atteindre cet état de contentement absolu, devenant ainsi le Bouddha. L'histoire veut que sa plus longue médiation austère (sans s'alimenter, ni boire) durât quarante-neuf jours. Après quoi, il y renonça pour méditer parmi les hommes et la nature.
«Il a dit qu'il méditait pour la paix dans le monde, mais il ne veut pas qu'on le compare au Bouddha, car il doit encore progresser pour atteindre son niveau», poursuit Prem Lama, qui soutient également que «chacune de ses interventions est accompagnée d'événements surnaturels». La dernière fois, le 18 janvier, il aurait ainsi parlé pour réclamer de nouveaux vêtements après que sa toge a subitement pris feu, sans pour autant lui brûler la peau... L'histoire veut aussi que le garçon ait déjà survécu à deux morsures de cobra, pourtant mortelles. Et surtout qu'il soit en parfaite santé, alors qu'il était censé ne pas s'alimenter.
Réincarnation et phénomènes surnaturels
Dans cette région du monde où chacun croit à la réincarnation et aux phénomènes surnaturels, le doute, cependant, subsiste. Au Népal, comme en Inde, où tout le monde se doit d'avoir un gourou et de parcourir régulièrement des centaines de kilomètres en pèlerinage, de telles histoires sont d'ailleurs courantes. Elles ne convainquent toutefois que les foules analphabètes, et encore.
Cette fois-ci, certains scientifiques se refusent à dénoncer d'emblée un imposteur. «Nous ne pouvons pas nous prononcer sans effectuer des tests médicaux, or, pour des questions éthiques et religieuses, il faudrait que l'intéressé nous donne sa permission, ce qui est impossible tant qu'il ne parle pas, affirmait ainsi le biologiste Dinesh Bhuju, de l'Académie royale des sciences et technologies, à Katmandou, avant la disparition de ce week-end. Evidemment, vivre aussi longtemps sans boire ni manger est a priori impossible mais, après tout, on pensait aussi que gravir l'Everest sans oxygène était impossible, or certains y parviennent.»
Les cheveux sales sur le visage, les ongles anormalement longs, Ram Bahadur Bomzon avait certes maigri mais ne semblait pas particulièrement affaibli avant sa disparition. Et, jusqu'à samedi dernier, sa présence, tous les jours au même endroit, était incontestable : chacun pouvait le vérifier, du moins à distance puisque le comité de villageois qui l'entoure empêchait les pèlerins de s'approcher de trop près, afin de ne pas troubler sa méditation. En revanche, à la nuit tombée, il était à sa demande laissé seul, d'où un gros doute sur ses activités nocturnes. Une chaîne de télévision a eu l'autorisation de rester à ses côtés quarante-huit heures d'affilée, et a affirmé qu'il n'avait pas bougé d'un pouce.
Lorsque Libération a visité le site, fin janvier, les avis restaient néanmoins partagés parmi les visiteurs qui se pressaient en silence derrière les barrières en bois érigées en cercle tout autour de lui. «Pourquoi ne peut-on pas l'approcher de plus près ? Ce pourrait être une statue qu'on ne ferait pas la différence !», s'indignait un paysan qui avait parcouru 300 kilomètres en bus pour en avoir le coeur net. «Je suis sûr que c'est vrai, je me suis senti apaisé rien qu'en le voyant», soutenait un autre, les mains jointes en signe de respect. Un jeune moinillon arrivé avec des offrandes était lui plus dubitatif : «Moi, je ne pourrais jamais méditer avec autant de monde autour, je me demande comment il fait pour garder sa concentration.» «Même s'il mange, boit et danse la nuit, le fait de passer tout l'hiver dehors alors qu'il n'est quasiment pas couvert est en soi exceptionnel. Cela mérite le respect», estimait pour sa part un étudiant en ingénierie venu avec des amis pour le week-end.
Des fugues à répétition
Les théologiens, aussi, débattent. «Le bouddhisme, comme l'hindouisme, considère que ce genre de choses est possible chez ceux qui atteignent un niveau de contrôle total sur leur corps et leur esprit, résume Laxman Shakya, professeur d'histoire et de littérature bouddhistes à l'université de Tribhuvan, à Katmandou. Mais cela ne s'est jamais vu depuis le Bouddha lui-même, or son histoire a été en partie réécrite a posteriori.» Comme beaucoup d'autres, l'universitaire estime toutefois que le garçon «possède clairement une capacité rare pour la méditation, surtout pour son âge. Je pense qu'il doit être la réincarnation d'un grand lama (moine bouddhiste, ndlr), pas forcément du Bouddha».
Originaire du petit village de Ratnapura, un hameau perdu dans les rizières, à proximité de la forêt où il s'est installé, Ram Bahadur Bomzon est issu d'une famille de pauvres paysans. Elevé avec ses six frères et soeurs, il a quitté l'école après le CM1 et n'a pas reçu d'éducation religieuse poussée. Dès l'enfance, cependant, il aurait été «à part», explique sa mère qui, heureux hasard, porte le même nom que la mère du Bouddha Maya Devi. Occupée à traire les vaches derrière la ferme familiale, elle raconte ainsi comment «depuis l'âge de 4 ou 5 ans, il a toujours refusé de manger s'il n'était pas servi le premier, et il n'a jamais voulu avaler de viande». «Petit, il refusait aussi de se battre, même quand les autres enfants lui tapaient dessus. Et puis il semblait toujours plus à l'aise avec les moines qu'avec nous, sa propre famille. C'était très étrange.»
Ses fugues à répétition, aussi, restent inexpliquées, surtout dans un environnement rural où tout tourne autour de la vie en communauté. «Les villageois le considéraient un peu comme un fou, car il disparaissait régulièrement pendant plusieurs jours, et ne voulait jamais dire où il avait été, explique l'un de ses frères. Maintenant, on se dit qu'il devait méditer mais, sincèrement, on n'en sait rien.» Toujours est-il que Ram Bahadur Bomzon s'est lancé dans sa longue méditation après une fugue d'un an, au cours de laquelle il aurait séjourné à Lumbini, le lieu de naissance du Bouddha, puis en Inde.
Dans un pays en pleine crise politique, où dix ans de guerre entre l'Etat et la rébellion maoïste ont déjà fait plus de 13 000 morts, cette histoire divine offre une distraction bienvenue. Une lueur d'espoir, aussi, car Bomzon aurait affirmé que «la paix reviendra au Népal d'ici à six ans». La plupart des visiteurs, non bouddhistes puisque les Népalais sont à 95 % hindous, affirmaient d'ailleurs venir «en quête de paix». «Peu importe que ce soit vrai, ce garçon nous fait au moins espérer qu'il y a quelque chose à chercher en dehors de ce monde qui va si mal», philosophe Ram Yadav, un instituteur qui, comme beaucoup d'autres, était reparti de sa visite «sans savoir à quoi s'en tenir».
L'attitude des villageois des environs est moins louable. Ceux-ci ont en effet trouvé avec Bomzon un merveilleux filon, comme en témoigne la multitude d'échoppes sorties de terre sur la route qui menait à lui. Ce genre de business est toutefois courant dans tous les lieux de pèlerinage du sous-continent. Mais le comité qui «protégeait» le garçon est néanmoins suspect. Composé de dix-huit personnes, il est seul habilité à vendre sa photo, et encaisse les offrandes en liquide, qui atteignent des proportions colossales puisque le petit Bouddha a déjà attiré plus de 150 000 visiteurs, selon les estimations. L'argent a certes été en partie utilisé pour construire les infrastructures destinées à faciliter les visites, mais les membres du comité tiennent pour autant des discours incohérents, et les messes basses en dialecte local se multiplient dès que l'on commence à poser des questions dérangeantes.
Une légende lucrative
Leurs propos contredisent surtout les informations contenues dans le petit prospectus qu'ils vendent, comme s'ils alimentaient la légende au fur et à mesure. A en croire ce fascicule, écrit dans un anglais approximatif, Bomzon aurait notamment parlé à ses frères et soeurs à plusieurs reprises au début de sa quête spirituelle, et pas seulement quatre fois en tout. Le comité obligeait également les véhicules à s'arrêter 2 kilomètres avant le «site sacré», contraignant ainsi les pèlerins à poursuivre à pied afin qu'ils puissent acheter en route quelques offrandes, bâtons d'encens ou photos du méditatif.
Si la région a manifestement beaucoup gagné grâce à Bomzon, sa famille ne semble pas avoir bénéficié de sa nouvelle renommée. Ses parents et ses six frères et soeurs habitent toujours dans la même fermette traditionnelle, s'occupant des champs et des bêtes dans des conditions moyenâgeuses. Et sa mère, une paysanne analphabète, paraît totalement dépassée par les événements.
Alors, coup monté ou manifestation divine ? Personne, au Népal, ne veut trancher. Maintenant qu'il a disparu, Ram Bahadur Bomzon est en tout cas devenu un sujet d'importance nationale. «Sa disparition est une catastrophe, nous n'avons pas été capables de le protéger, s'indigne l'universitaire Laxman Shakya. Il faut à tout prix le retrouver, sinon nous ne saurons jamais qui il était vraiment.»
Le petit Bouddha est réapparu
(Article paru sur le portail internet belge Advalvas le 21/03/2006).
Les proches du « petit Bouddha » affirment avoir retrouvé sa trace dimanche à à peine trois kilomètres au sud de l'arbre sous lequel il était resté en méditation pendant dix mois en pleine forêt. Il leur aurait parlé.
Dix mois sans bouger, manger et boire, Ram Bahadur Banjan avait en effet quitté mystérieusement son lieu de méditation début mars alors que la légende locale prétendait qu'il était resté assis dans la position du lotus, sans manger ni boire, depuis dix longs mois. On avait alors cru à un enlèvement par l'une des factions communistes actives dans la région. Il n'en serait apparemment rien, selon les proches de Ram Banjan qui géraient jusqu'à sa disparition les abord de son arbre de méditation pour écarter la foule de pèlerins qui venait chaque jour prier devant celui que l'on prétendait le Bouddha réincarné.
« Pas assez calme »
Las proches de Ram Banjan affirment avoir parlé pendant une heure et demi avec l'adolescent. Il leur aurait dit « je suis parti parce qu'il n'y a pas de calme ici... Dites à mes parents de ne pas s'inquiéter. » Le petit Bouddha aurait ensuite dit qu'il reviendrait dans six ans et en attendant, il a demandé que des moines viennent prier là où il a tenu sa méditation de dix mois. Une vidéo aurait été tournée à cette occasion. Vous pouvez la visionner sur le site de la BBC (lien dans la rubrique ci-dessous).
1. 04/03/2012
Les six ans sont passés ... Va-t-il réapparaître ce mois-ci ?
Personnellement, j'en doute..
2. 26/08/2011
le monde occidental est trop matérialiste et cupide pour croire qu'il puisse encore éxister des etres dont le seul désir dans la vie est d'entrer en connexion avec l'Amour infini qui régit la vie et que l'on appel DIEU...
3. 05/08/2011
franchement c'est bien ce qu'il fait,je suis impressionné par sa force intérieur qu'il a su grandir,j'aime voire des gens comme lui dans ce monde,car sa donne le courage,la motivation de pouvoir changer quel que chose à travers le monde et en nous,ce que Dieu veut c'est que chaque humains puisse trouver cette paix intérieur en lui,ne pas succomber au mal qui nous entourent,peut être moi je ne trouverai pas l'éveil mais grace a des Homme comme Little bouddah qui montre que on peut le faire,avoir l'éveil, montrera a nos enfants que l'éveil est a la porter de tout le monde,que on ne vient pas au monde juste pour après mourir,il y'a une raison de vivre,Garder foi en ce que vous etez.Peace and love
4. 22/05/2011
Bonjour, apparemment little buddha ne s'occupe pas de son apparence physique et laisse tout poussé... Mais ç 21 ans il n'a encore aucune trace de barbe. S'occupe-t-il vraiment de son apparence physique? Bizarre..
5. 26/04/2011
votre site offre au chrétien catholique des nombreuses prieres afin d'entretenir la flamme de la piete. j'ai pu lire de nombreuses prières. recevez mes félicitation et mes encouragements. par contre les articles concernant boudha et la franc-maçonnerie aussi instructifs soient ils vont contre la foi et les dogmes de la religion catholique. si ceux sur la franc-maçonnerie sont des avertissements des hideuses facettes du malin, je ne comprends pas la présence des écrits sur boudha.
Note du webmaster : alors que faites-vous sur cette page ?
Ne vous enfermez pas dans un dogme sectaire et replié sur lui-même, lisez plutôt les messages d'amour et d'appel à la conversion de tous les petits prophètes de Dieu, des 4 coins de la terre, aussi surprenants soient-ils. Ils nous ramènent tous à notre Père Miséricordieux, Unique et Eternel !
6. 01/02/2011
Merci pour ce blog !
7. 02/01/2011
Bonjour Bull,
Si vous êtes vraiment une Amie du Christ, vous pouvez comprendre que "Christ" et "Bouddha" sont des états de conscience très élevé après une très longue et difficile introspection de la part de Jésus dans le désert et de Siddharta à Bodh Gaya qui ont pu atteindre l'état de Christ ou celui de Bouddha pour nous. Pour notre inconscience qui apporte tellement de tumulte, d'incompréhension, de déséquilibre et l'on peut constater ce que cela donne !
C'est déjà une grande ouverture de coeur que d'avoir du respect pour les autres religions. Dans l'Amour du Christ ou celui de Bouddha, il n'y a aucune limite, leurs coeurs sont tellement pur qu'ils se rejoignent. Pourquoi ne pas aller dans cette direction afin de comprendre le message du Christ dans celui de Bouddha ?
Et alors, le voir dans la bible avec un niveau de conscience différent ?
Soyez en Paix
Kamalayan
8. 21/11/2010
bonjour
j'ai visité votre site, comme je suis chrétienne, j'ai aimé les prières, mais là ou je ne comprend pas c'est que vous mélangez les autres religions. J'ai du respect pour les autres religions mais qu'est ce qui fait boudha ici avec jésus je le vois nul par dans la bible. soyez béni.
Amie du Christ